vendredi 11 juillet 2008
Premiers pas - phase 2/présentation
Suite à la phase 1 de mon projet « Premiers pas », encouragée par toute la chaleur reçue le jour d’exposition/découverte du 7 octobre 2007, j’ai contacté d’autres personnes, certaines aussi m’ont d’elles-mêmes manifesté leur intérêt, pour participer à la phase 2. J’avais en effet, suivant la proposition d’Acte de l’ami Antonio (cf. mon premier article « En guise de préambule… »), décidé d’en mettre en œuvre la deuxième partie…
Un concept quelque peu adapté à la nouvelle situation qui m’était offerte : puisque j’allais désormais représenter aussi des personnes que je connaissais peu, voir pas – amis/famille d’amis…, il s’agissait d’entrer en contact avec elles et de pouvoir toucher quelque chose de fort. Je leur ai donc proposé une rencontre individuelle lors de laquelle chacune me parlerait de quelque chose qui lui tient particulièrement à cœur. J’ai représenté 12 personnes sur base de mon ressenti lors de chaque discussion, et de ce dont elles m’ont parlé. Ma maman, elle, a préféré que je la représente uniquement inspirée de mes émotions premières, comme je l’avais fait pour les participants de la phase 1.
J’ai démarré la phase 2 en décembre 2007 ; les peintures et textes ont été exposés du 7 juin 2008 au 26 juin 2008 à l’asbl Mouvements de Femmes.
Ci-dessous :
- lien vers le diaporama des peintures
- les extraits de textes
- lien vers le diaporama des photos prises lors du vernissage
Un concept quelque peu adapté à la nouvelle situation qui m’était offerte : puisque j’allais désormais représenter aussi des personnes que je connaissais peu, voir pas – amis/famille d’amis…, il s’agissait d’entrer en contact avec elles et de pouvoir toucher quelque chose de fort. Je leur ai donc proposé une rencontre individuelle lors de laquelle chacune me parlerait de quelque chose qui lui tient particulièrement à cœur. J’ai représenté 12 personnes sur base de mon ressenti lors de chaque discussion, et de ce dont elles m’ont parlé. Ma maman, elle, a préféré que je la représente uniquement inspirée de mes émotions premières, comme je l’avais fait pour les participants de la phase 1.
J’ai démarré la phase 2 en décembre 2007 ; les peintures et textes ont été exposés du 7 juin 2008 au 26 juin 2008 à l’asbl Mouvements de Femmes.
Ci-dessous :
- lien vers le diaporama des peintures
- les extraits de textes
- lien vers le diaporama des photos prises lors du vernissage
Premiers pas - phase 2/photos des peintures peintures
15 peintures, décembre 07-juin 08, huile et/ouacrylique, papier toilé ou toile, de 4OX5O à 50X60. (cliquer sur le titre pour voir le diaporama)
Premiers pas - phase 2/extraits de textes
« Un piano que tu reconnus tien,
Offert par celui qui a su le sentir
Symbiose qui t’a rendu ta liberté,
Celle de te réaliser dans ce dont tu t’es privée.
Simplement jouer,
Jouer et te laisser emporter. »
« Comme si tout de même…
…une sorte de manque d’espace,
Pour laisser se libérer cela qui ne fait que paraître
Et que tu regardes avec insouciance.
Une forme de légèreté.
Un petit pincement au cœur. »
« Et tu fais,
La seule chose positive dans ce cas.
Quelques bons,
Pour franchir les obstacles
Pour t’amuser aussi,
En compagnie
Ainsi tu poses les nouveaux piliers
Et les rayons apparus se font sentir.
De leur mélange avec les dernières pluies,
Se dresse un arc en ciel. »
« Tu continues à te battre pour ta vie à ton image
Et par la même occasion partages ton énergie,
Tu la répands, la communiques, la transmets à qui en a besoin.
Sans te fatiguer de donner, au contraire, c’est ressourçant pour toi. »
« Les racines plantées dans le cœur
Permettent aux branches de croître
Dans la tête aussi.
Ton intellect fait partie de toi et est une force
Pour autant qu’il marche avec le cœur.
L’arbre tel une respiration. »
« Dans la nuit, tu peux préparer tes potions
Et te protéger,
Mais la lune n’éclairera que ce qui t’entoure.
Tu peux la regarder et tu la connais.
Le soleil ne se regarde pas de face,
Mais éclaire le chemin vital,
Eclaire la lune elle-même. »
« Il y a en toi quelque chose de très beau, de grand et de fort.
Je pense que cela te vient d’un voyage par delà les montagnes,
Passé les premiers encadrements.
Ca reste en toi,
Passe,
A travers toi,
Autour de toi.
Telle une aura impalpable, une forte présence,
Qui ne peut faire autrement que d’être là.
D’offrir. »
« Ton banc d’écolier est trop petit pour toi.
Car quand on a ta culture, on devient maître,
Ce qui est ton cas aussi,
Dans la communication de ton savoir,
Ton souci de le rendre accessible,
Accessible et plaisant,
Humain. Plein d’émotion.
Transformation donc ;
Le maître se fait magicien.
Et comme tel a un côté enfantin,
Dans l’émerveillement de ce qu’il maîtrise. »
« Mais dis-moi, sens-tu ses racines
Qui invisiblement soutiennent la maison ?
Source permettant de puiser
Ce qui fait grandir, un peu de vie.
Et les branches par-dessus qui la frôlent, la caressent ?
Vois-tu comme sa simple présence réunis les proches autour de lui.
Et le temps passe,
La vie s’écoule.
Xxx, toi et la maison : toujours là,
Pour qui veut vous rencontrer, partager. »
« A peu te connaître,
On ressent d’abord l’énergie active chez toi,
Et la douceur.
A mieux te connaître,
On découvre que les deux sont liés au rêve,
Au rêve de partage dans la vie aussi,
Au besoin d’aller à l’autre.
Car en réalité timide,
Trouvant refuge dans tes rêves,
Jouant à cache-cache avec les livres
Et ce que tu tisses autour ;
Et par delà, la douceur maternelle de celle qui aime. »
« Car à travers cette démarche,
Une recherche de relation aussi, de contacts, d’amitiés,
A l’image du petit garçon qui a commencé à jouer au football
Pour se faire des copains.
Au-delà et à travers cette démarche, autre chose d’important :
Tu es là pour l’autre, pour les échanges, les discussions,
Mais aussi disponible là où il a besoin de toi.
Une belle présence à l’autre, en toute discrétion, en toute disponibilité. »
« J’ai mal de constater que cette pulsion,
Tu la considères comme une fatalité.
Et de pourtant sentir
Une forte envie de vie,
Mais de ne pas y croire,
De ne pas savoir comment y accéder,
De renoncer à chercher…
… comme si tu pensais que tu n’y avais pas droit.
Comme si les souffrances passées
T’empêchaient de créer ton bonheur aujourd’hui. »
« Tu portes la croix
Et te rend compte plus tard de ce qu’elle représente :
Une constellation guide pour un peuple de marcheurs
Sur ta poitrine, elle s’enrichit de cette découverte.
Et tu plonges.
Pas dans un « No man’s land »,
Comme ce fut peut-être une volonté passée,
Dans un futur ancestral.
Un avant goût d’intemporel. »
Offert par celui qui a su le sentir
Symbiose qui t’a rendu ta liberté,
Celle de te réaliser dans ce dont tu t’es privée.
Simplement jouer,
Jouer et te laisser emporter. »
« Comme si tout de même…
…une sorte de manque d’espace,
Pour laisser se libérer cela qui ne fait que paraître
Et que tu regardes avec insouciance.
Une forme de légèreté.
Un petit pincement au cœur. »
« Et tu fais,
La seule chose positive dans ce cas.
Quelques bons,
Pour franchir les obstacles
Pour t’amuser aussi,
En compagnie
Ainsi tu poses les nouveaux piliers
Et les rayons apparus se font sentir.
De leur mélange avec les dernières pluies,
Se dresse un arc en ciel. »
« Tu continues à te battre pour ta vie à ton image
Et par la même occasion partages ton énergie,
Tu la répands, la communiques, la transmets à qui en a besoin.
Sans te fatiguer de donner, au contraire, c’est ressourçant pour toi. »
« Les racines plantées dans le cœur
Permettent aux branches de croître
Dans la tête aussi.
Ton intellect fait partie de toi et est une force
Pour autant qu’il marche avec le cœur.
L’arbre tel une respiration. »
« Dans la nuit, tu peux préparer tes potions
Et te protéger,
Mais la lune n’éclairera que ce qui t’entoure.
Tu peux la regarder et tu la connais.
Le soleil ne se regarde pas de face,
Mais éclaire le chemin vital,
Eclaire la lune elle-même. »
« Il y a en toi quelque chose de très beau, de grand et de fort.
Je pense que cela te vient d’un voyage par delà les montagnes,
Passé les premiers encadrements.
Ca reste en toi,
Passe,
A travers toi,
Autour de toi.
Telle une aura impalpable, une forte présence,
Qui ne peut faire autrement que d’être là.
D’offrir. »
« Ton banc d’écolier est trop petit pour toi.
Car quand on a ta culture, on devient maître,
Ce qui est ton cas aussi,
Dans la communication de ton savoir,
Ton souci de le rendre accessible,
Accessible et plaisant,
Humain. Plein d’émotion.
Transformation donc ;
Le maître se fait magicien.
Et comme tel a un côté enfantin,
Dans l’émerveillement de ce qu’il maîtrise. »
« Mais dis-moi, sens-tu ses racines
Qui invisiblement soutiennent la maison ?
Source permettant de puiser
Ce qui fait grandir, un peu de vie.
Et les branches par-dessus qui la frôlent, la caressent ?
Vois-tu comme sa simple présence réunis les proches autour de lui.
Et le temps passe,
La vie s’écoule.
Xxx, toi et la maison : toujours là,
Pour qui veut vous rencontrer, partager. »
« A peu te connaître,
On ressent d’abord l’énergie active chez toi,
Et la douceur.
A mieux te connaître,
On découvre que les deux sont liés au rêve,
Au rêve de partage dans la vie aussi,
Au besoin d’aller à l’autre.
Car en réalité timide,
Trouvant refuge dans tes rêves,
Jouant à cache-cache avec les livres
Et ce que tu tisses autour ;
Et par delà, la douceur maternelle de celle qui aime. »
« Car à travers cette démarche,
Une recherche de relation aussi, de contacts, d’amitiés,
A l’image du petit garçon qui a commencé à jouer au football
Pour se faire des copains.
Au-delà et à travers cette démarche, autre chose d’important :
Tu es là pour l’autre, pour les échanges, les discussions,
Mais aussi disponible là où il a besoin de toi.
Une belle présence à l’autre, en toute discrétion, en toute disponibilité. »
« J’ai mal de constater que cette pulsion,
Tu la considères comme une fatalité.
Et de pourtant sentir
Une forte envie de vie,
Mais de ne pas y croire,
De ne pas savoir comment y accéder,
De renoncer à chercher…
… comme si tu pensais que tu n’y avais pas droit.
Comme si les souffrances passées
T’empêchaient de créer ton bonheur aujourd’hui. »
« Tu portes la croix
Et te rend compte plus tard de ce qu’elle représente :
Une constellation guide pour un peuple de marcheurs
Sur ta poitrine, elle s’enrichit de cette découverte.
Et tu plonges.
Pas dans un « No man’s land »,
Comme ce fut peut-être une volonté passée,
Dans un futur ancestral.
Un avant goût d’intemporel. »
Premiers pas - phase 2/vernissage
Photos prises lors du vernissage de l'exposition le 07 juin 2008, + quelqu'un qui m'est cher lisant, en visite un autre jour...
Premiers pas - phase 1/photos des peintures
15 peintures, juin 07 - octobre 07, papier toilé, huile et/ou acrylique, 42X56 cm (cliquer sur le titre pour voir le diaporama)
Premiers pas - phase 1/extraits de textes
« Puissant ça hein, mine de rien.
C’est ce mine de rien qui me touche…
En toute simplicité, de grandes choses. »
« Ouverture sur le jour dans l’action,
De la lune au soleil, seul le soleil est visible.
Bien encrés dans la réalité, tes pas te mènent
A travers tes activités, dans ta vie, suivant tes certitudes…
…Autour de la lune. »
« Parce que même la lumière est pudique.
Sa plus infime partie pourtant
Eclaire déjà les yeux qui se ferment,
Les cœurs en larmes
Pour que la larme du cœur
Se fraye un chemin dans l’œil,
Qu’elle sorte, tombe sur terre
La rende fertile. »
« Et ainsi, répand
Les battements du Cœur.
De toi à toi
De toi aux autres,
De toi à l’Autre.
De l’Autre à l’Autre »
« Doigts de fée aux poussières d’étoiles
Tournent la manivelle
D’une boîte à musique
Qui fait danser les notes… »
« Simplement laisse ses pétales se répandre
-elles le font si bien d’elles-mêmes –
Dans le jardin des cœurs »
« Tu n’exiges rien,
Donnes,
Ta spontanéité, ton dynamisme,
Tes folies, ta fantaisie, tes rêveries.
Tu guides sur une barque
qui emmène pour un petit tour de ton monde.
Tu écoutes aussi. »
« De souvent dans ton rire, toujours bon, jamais moquerie
Me sentir ramenée un peu plus dans la réalité,
Celle où les rêves peuvent se construire… »
« Une perle renaissant pour elle-même
N’en est que plus belle,
D’elle aux autres. »
« Un oiseau vole par-dessus le précipice.
D’où vient-il ?
Où va-t-il ?
Les questions demeurent en suspend,
Il avance.
Et s’il tombe ?
S’il n’y a pas pensé, c’est que l’envol l’a pris depuis le cœur,
S’est répandu dans ses ailes,
Puis dans les airs. »
« Prestidigitateur
De l’âme Du cœur
Tu les fais naître,
Être
Être des êtres
Tes MESSAGERS
De la POESIE »
« Cavalière,
Sauvagerie cloisonnée dans le projet de vie que tu as choisi.
Instinctive dans ton rapport aux chevaux.
Chevauchement de vie organisée, dans ta passion,
Pour te réaliser dans ce qui te plaît, ce qui t’anime,
Avec les sacrifices que cela implique,
Les aspects qui t’animent moins, mais néanmoins nécessaires.
L’instinct fait partie de ton travail, dans ton rapport aux chevaux,
La sauvagerie moins, elle est ailleurs. »
« Tu danses, xxx ,
Une danse véritable, un mélange de volonté,
De générosité, d’empathie, d’action
D’action retenue et de ce laisser couler,
Tout passe, ainsi va la vie. »
« … avec le fond du regard écorché,
Toujours pétillant,
Ton large sourire
Et une grande douceur. »
« Ce principe d’action est ta force
Emprunte d’émotion
Dissimulée sous tes vannes
Qui font rire et te rende difficile à cerner… »
C’est ce mine de rien qui me touche…
En toute simplicité, de grandes choses. »
« Ouverture sur le jour dans l’action,
De la lune au soleil, seul le soleil est visible.
Bien encrés dans la réalité, tes pas te mènent
A travers tes activités, dans ta vie, suivant tes certitudes…
…Autour de la lune. »
« Parce que même la lumière est pudique.
Sa plus infime partie pourtant
Eclaire déjà les yeux qui se ferment,
Les cœurs en larmes
Pour que la larme du cœur
Se fraye un chemin dans l’œil,
Qu’elle sorte, tombe sur terre
La rende fertile. »
« Et ainsi, répand
Les battements du Cœur.
De toi à toi
De toi aux autres,
De toi à l’Autre.
De l’Autre à l’Autre »
« Doigts de fée aux poussières d’étoiles
Tournent la manivelle
D’une boîte à musique
Qui fait danser les notes… »
« Simplement laisse ses pétales se répandre
-elles le font si bien d’elles-mêmes –
Dans le jardin des cœurs »
« Tu n’exiges rien,
Donnes,
Ta spontanéité, ton dynamisme,
Tes folies, ta fantaisie, tes rêveries.
Tu guides sur une barque
qui emmène pour un petit tour de ton monde.
Tu écoutes aussi. »
« De souvent dans ton rire, toujours bon, jamais moquerie
Me sentir ramenée un peu plus dans la réalité,
Celle où les rêves peuvent se construire… »
« Une perle renaissant pour elle-même
N’en est que plus belle,
D’elle aux autres. »
« Un oiseau vole par-dessus le précipice.
D’où vient-il ?
Où va-t-il ?
Les questions demeurent en suspend,
Il avance.
Et s’il tombe ?
S’il n’y a pas pensé, c’est que l’envol l’a pris depuis le cœur,
S’est répandu dans ses ailes,
Puis dans les airs. »
« Prestidigitateur
De l’âme Du cœur
Tu les fais naître,
Être
Être des êtres
Tes MESSAGERS
De la POESIE »
« Cavalière,
Sauvagerie cloisonnée dans le projet de vie que tu as choisi.
Instinctive dans ton rapport aux chevaux.
Chevauchement de vie organisée, dans ta passion,
Pour te réaliser dans ce qui te plaît, ce qui t’anime,
Avec les sacrifices que cela implique,
Les aspects qui t’animent moins, mais néanmoins nécessaires.
L’instinct fait partie de ton travail, dans ton rapport aux chevaux,
La sauvagerie moins, elle est ailleurs. »
« Tu danses, xxx ,
Une danse véritable, un mélange de volonté,
De générosité, d’empathie, d’action
D’action retenue et de ce laisser couler,
Tout passe, ainsi va la vie. »
« … avec le fond du regard écorché,
Toujours pétillant,
Ton large sourire
Et une grande douceur. »
« Ce principe d’action est ta force
Emprunte d’émotion
Dissimulée sous tes vannes
Qui font rire et te rende difficile à cerner… »
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